En route vers le village, qui ne se trouve pas sur la carte, pluies, papillons, la recherche des gorilles et le chaleureux accueuil de la population ainsi que des missionnaires!
Compte rendu du voyage du 16.05.2010 – 22.05.2010
A Gisenyinous prenons le relais du voyage. Nous passons notre journee a rouler a velo. Dans notre chambre, un papillons de la taille d’un telephone portable nous rend visite.a l’aube nousnous mettons vite en route. Le debut du trajet se montre assez innocent- macadam elegent ,paysage des montagnes et le magnifique lac Kivu. Mais nous nous sommes trompes. C’est la que commence l’infinie route, qui nous trempe de sueur. De village en village, nous sommes accompagnes d’un groupe de petits rwandaiswui ne comprennent pas pourquoi des muzungu roulent a velo sur une colline. Nous sommes attrappes par une pluies tropical et quand elle cesse, nous reprenons notre excursion. La nuit tombe assez rapidement, heureusement une famille rwandaise nous accueuille pour la nuit dans le village de Mahoko.
Asia a vite sympathise avec trios filles, qui sont venues s’assoir a cote de nous sur la nappe en bamboos. Le pere de la famille apparait, un peu surprise de notre visite. Nous lui racontons notre projet, mais malheureusement personne neparle ni francais ni anglais- nous sommes chanceux, il y a avec nousun jeunegarcon qui nous sert de traducteur. Après une courte discussion, nous nous entendons bien. Nous sommesinvitees au dinner familial, eclaire pardes bougies(il n y a pas d’electricite dans la maison). Surla table apparait du lait chaud, une casserole de riz et une salade de peau de poulet, des haricots et des epics rwandais. Nous mageons et nous contentons d’un second tour. A notre depart, les habitants du village nous saluent, crient et applaudissent.
Les quelques prochains jours nous demandent d’enormes efforts, affronter les route montantes et lutter contre la fatigue. Nous buvons des hectoliters d’eau et nous nous mettons en route. Sur notre chemin nous passons le Volcano Park, quelques chutes d’eau et des paysages merveilleux avec la vue des valleeslointaines.
Ensuite nous arrivons a Ruhengeri,ou nous nous entainons a la recherche des gorilles. C’est la que travaillait Dianne Fossey, et Nowak s’est arête la bas chez une polonaise vivant avec un Grec. Malencontreusement nous ne pouvons pas rencontrer les gorilles. Manque de temps et d’argent. Malgre cet infortune, nous sommes chanceux. En roulant par le centre-ville, notre drapeau blanc-rouge attire l’attention de patriots polonaise. Nous rencontrons le pere Martin et la soeur Marie, en chemin vers une mission au Congo.
Le pere Martin est, a notre grande surprise,bien informe sur le projet et son idée. En voyant notre situation, il nous invite pour un primus froid. Entre temps viennent des americaines, chez lesquelles nous avons dormis la veille, ainsi que troissoeur missionnaires – Dorothée, Mirka et Barbare. Le propriétaire du bar se tient la tête en ne comprennant pas d’ou viennent autant de muzungu.
Nous bavardons au sujet de Nowak et ses exploits, nous nous prenons en photo en mémoire et nous receuillons des informations sur ce qui nous attends après.
Un rwandais donne toujours une reponse a la questions posée. Nous en sommes convaicu après avoir demandé la distance jusqu’à Gakenke(Nemba), qui ne se trouvait pas sur la catre. Nous avons beaucoupde réponses: trente minutes, 3 kilomètres, 20 kilomètres, vousmontez la montagne et vous y êtes. Enpratique cela nous pris 5 heures.
Après le coucher du soleil, nous nous retrouvons a Gakenke et nous nous arretons pour la nuit chez Kitty, une gentile americaine qui travaille pour Peace Corps. Nous nous mettonsen route a l’aube et nous pédalons toue la journéeen montant accompagnés d’un soleil brulant. Nous passons une nuit chez des rwandais et dans un magasin.nous préparons nos bagages et nous sommes invites chez une famille d’une dizaine de personne. Nous prenons quelques cours de Kinyarwanda. Après une longue montée, nous avons la premiére descente vers Kigali. L’apres midi nous arrivons a la msissionpolonaise de Gikondo.
Compte rendu”Congo Safiri” du Rwanda (I partie)- Swiatoslaw Rojewski
Sur les traces de Kazimierz Nowak, nous sommes arrivés a Kigali- la capital du Rwanda.nous cherchions la maison des Pères Blancs (selon nos informations, notre confrère est arrivé chez eux). Mais nous sommes iinformés que la maison n’existe plus. Nous nous arrêtons chez les Prêtres Pallotins à Gikondo. Nous sommes accueuillisselon le dicto “visiteur à la maison, Dieu à la maison”. On rencontres des prêtres et des frères Polonais et des soeur missionnaires. Tous écoutent avec stupefactions nos histories sur Nowak. Quoiqu’en Afrique depuis plusieurs années, le portrait de notre voyageur leur est inconnu. Les histories durent jusqu’à la nuit. Nous laissons une pancarte en mémoire du voyage de Nowak.
À Kigali, nousrencontrons Beata Shyaka, une polonaise vivant au Rwanda assez longtemps. Avec sa famille, elle contribute spontanément a la promotion de notre projet. Le lendemain, nous rencontrons l’honorable consul de la Pologne, M. Charles Ngarambe, ainsi que le minister du sport et de la culture- Jean Pierre Karabanga,et les représentants rwandais des medias: TV et journal. Nous sommes interrogés sur le projet et son initiative, puis filmés entre temps ou un peu après l’interview.
Enuite nous visitons leprésidentde la fédération des cyclistes M. Fetus Bizimana. Pendant la conversation, nous parlons de l’éventuelle collaboration entre les cyclistes polonais et rwandais. M. Bizimana est connu au Rwanda pour les nombreux activités cycliques qu’il a organisé pour préserver la nature ou la santé. Nous sommes invites au prochain “tour de gorilla”! la route ne nous parait plus si dure après ces montées vers Kigali!! Le temps passé et nous nous mettons vite enroute sur nos Brannabory.
Nous nous arrêtons pourlanuit dans un arrêt de transition international. Nous devons utiliser pas mal d’arguments en Kinyarwanda pour que le gardien ayant une karachinkow nous laisse passer la nuit a l‘interieur. Heureusement il accepte après qu’il ait su pourquoi nous sommes là! Le soir, lorsque nostentessont déjà mises en place sous la lune rwandaise, le chef du parking vient de joindre à nous ainsi qu’un traducteur et encore une fois, les histories sur Nowak continuent.la photo de Nowak avec le roi Mutara I fait de l’effet car le roi est une personnalité très connue,et il n’était pas commun de se prendreenphoto avecun blanc, dans le temps.
Nous apprenons que plusieurs d’entre les citernes se trouvant sur le terrain peuvent pèser jusqu’à 70 tonnes.
À l’aube nous rangeons les tentes et nous nous mettons en route! Des montées forces et le soleil brulant nous attandent. Nous atteignons Karenge le soir-village artisanal avec la vue des montagnes et des volcans. Nous nous arrêtons là pour la nuit chez un des habitant qui nous prête une partie de son jardin et nous y installons les tentes. Et nous mangeons des pommes de terre, des oignons et des olives.
Au moment ou nous mangeons, la police surgit. Selon la loi du village, nous sommes ici illégalement. Au Rwanda il est intérdit aux étrangers de dormir sous la lune. Les explications n’ont pas de fin. Enfin, la signature dans notre livre de souvenir du minstre rwandais nous sauve. Nous pouvons dormer en paix, et le patrol, touché par notre mission et nos connexions avec l’établissement rwandais, decide de nous protéger la nuit. Nous nous mettons en route à l’aube vers Ruhango, ou nous sommes accueullis par un arc-en-ciel suspend au-dessus des collines…
Compte rendu “Congo Safiri” du Rwanda (II partie)-Swiatoslaw Rojewski
Notre équipe grimpe les routes en montées vers Ruhango. En route, nous témoignons de quelques accidents. La chaine se casse. Radek s’en charge. Nous restartons. Asia écrit: Parfois j’ai l’impression que les vélos des garcons tombent en panne exprès! Nous avons des pauses techniques indispensables pour le Primus (la bière rwandaise 😉
Nous arrivons à Ruhango ou nous rencontrons une autre mission pallotine ainsi que la soeur Anne. Après le chaleureux accueuil de l’équipe de nowak, nous goutons à la cuisine rwandaise. Nous observons sur la table le foufou(la première nourriture de manioc),de la sauce d’aubergine et de spinach, croquettes, ragout d’harricots et bien sur le pili-pili(de l’huile des poivro trèèèèèèèèès piquant). Avec le parfait accompagnement de ce menu hors du commun, le caffé rwandais avec de sucre venant des cannes à sucre des champs non lointains, ainsi que du lait venu tout droit des vaches!!! Connaitre le Rwanda, ces gouts, ses odeurs, ses paysages pendant notre trace de Nowak est de la magie.
Nous avons visités les pigmés qui cette fois-ci faisait des vases en argile. Nous avons observe deux femmes qui transformaient une boule d’argile en un magnifique vase, qui pour prendre sa forme finale, passé par un four. Leprix d’un vase est d’un dollard. Nous avons voulus en acheter mais onaurait pas su comment le transporter. Avant de partir, nous avons laissés des souvenirs à la famille.
Lepoint suivant était l’hospital missionnaire. Nous y visitons le laboratoire, la sale d’attente, la sale ou l’on reçoit les malade, et … la sale d’accouchement. Un peu avant notre arrive, un autre bébé rwandais est né: umukobwa (une fille). Les enfants africains naissent blancs mais au fil du temps,leur peau noircit. Comme le dit un des proverbs rwandais: “un femmes noire attend un enfant blanc”, et celaest vrai mêmeen réalité.
En se promenant sur les lieu, un groupe d’enfants nous tient companie ainsi que les regards curieux des adultes. En les saluant, nous racontons les histories sur Nowak et ses voyage en Afrique, chaqun des personnes qui écoutaient nous regardent avec stupéfaction. Pour ces gens, il est très difficile de comprendre. En partant, ils nous salient en disant: KOMERA, KOMERA(courage).
Est-ce-que Kazik (Kazimierz Nowak) s’est trompé ? Avec quel roi du Rwanda s’est-il rencontré ?- „Congo Safiri„
En recherche des traces de Kazimierz Nowak, nous nous rendons à Nyanza, le lieu où les rois rwandais vivaient. La route vers la ville se prolonge sans pitié en montée. Puisqu’il y a une montée, il y aura une descente- c’est notre récompense ;-). En arrivant en ville, nous sommes attendus par le musée, informée par une de nos connaissances-Thomas, le directeur du musé. Le complexe du musée est très soigneusement aménagé. Il se compose d’un palais, construit au roi par les belges et des huttes rwandaises originales, étant partiellement l’habitat des rois. On visite le palais et l’ancien jardin royal. Parmi les photos se trouvant dans le musé, nous cherchons notre photo: de Kazik et du roi. Mais nous ne la trouvons pas. Nous cherchons alors d’autres photos, faites à la famille royale par KN (C’est ainsi qu’il signait dans ces lettres). On consterne en constatant que sur notre photo, KN est avec le roi Mutara I. Et voilà que les questions commencent à êtres posés : qui est qui dans ces photos ? On constate qu’il est impossible que le roi Mutara I soit sur la photo parce qu’il a régné au XVII siècle. En 1931, le trône appartient au roi Mutara III Rudahigwa, qui régnait jusqu’en 1959. Cette information ne nous donne pas la paix. Puisque Nowak a écrit à propos de Mutara I, le fils de Musinga et ici nous avons le roi Mutara III Rudahigwa. Cela veut dire que, se sont perdus, quelque part dans l’histoire (les années 1931-1933, KN au Rwanda) les rois Mutara I et II. Pour résoudre cette énigme, nous devons chercher d’autres sources.
A Nyanza, grâce au directeur du musé, nous avons eu la possibilité de mettre une autre pancarte de notre trace à la Nowak. Nous arrivons à l’ancienne capitale du Rwanda, il fait déjà nuit. Encore une fois 40km de monté derrière nous. Fatigués de la route, nous nous rendons au repos nuptial.
Le matin, nous explorons Butare, ancienne Astrid (du temps des belges)-capitale du Rwanda. La ville est un lieu universitaire très important au Rwanda, mais, depuis quelque temps elle perd de l’importance, par rapport à Kigali. Nous nous rencontrons avec un autre bon esprit, qui nous a accompagnés durant notre exploration, William S… il vient du Burundi et il est professeur à l’université de Butare. Et plus tard nous apprenons qu’il vivait et travaillait à Opole (comme nous!)après avoir fait l’université, presque 7ans, à Wroclaw. Encore une fois, nous sentons une incroyable combinaison d’évènements dont nous sommes témoins lors du voyage. Ensemble, avec William, nous essayons de résoudre l’énigme avec le roi. Pour cela nous nous rendons au musé national de Butare. Ici aussi, notre photo choque le personnel du musé. Pour nous aider à démêler le mystère, le directeur du musé vient a notre secours, et nous fait les leçons de la dynastie des rois au Rwanda.
Sur la photo, Kn est avec le roi Mutara III Rudahigwa. Au Rwanda il existe 4 noms de dynasties, changés toutes les 4 générations, successivement. Chaque roi, a part le nom de la dynastie, portait son nom, comme sur la photo Kazik est avec la famille royale et le roi Mutara III Rudahigwa, dont le père était Musinga, avec qui Nowak a cru être, selon ce qu’il a écrit. L’enigme est résolue, il faut seulement introduire une petite correction dans la légende de la photo 😉
„Congo Safiri” du Rwanda (Butare- Kibeho)
De Butare a Kibeho, il nous reste 30km. En profitant du fait qu’il fait beau, nous décidons de ne pas trop se dépêcher et de s’arrêter à quelques endroits sur la route. Près d’un pont en bois, avec un petit étang contenant de l’eau orange, se trouve une plantation de the, dans laquelle travaille un groupe de personnes, en majorité des femmes. Un jeune homme regarde leurs travaille, avec une machette a la main. Nous dépassons des centres de santé. Les cyclistes, ainsi que les bergers, dirigent leurs vaches, leurs chèvres et leurs cochons sauvages. Nus prenons une pose dans un bar non loin de la route. Swiatek et Radek prennent en compte la prolifique anti-amibe et se délectent d’une bière congelée, tandis qu’Asia se contente de la prolifique anti-malaria et prend un tonic. Pour le déjeuner, nous avons un avocat venant droit d’un arbre, épicé de sel et de pili-pili. Le vendeur sympathique est très intéressé par notre projet de Nowak, alors nous décidons d’y afficher une de nos pancartes. Après quelques essais, il trouve l’endroit idéal, juste au-dessus de la porte d’entrée. Il prend un clou et l’enfonce dans le mur avec une bouteille de fanta vide. La cérémonie de l’enfoncement de la pancarte a lieu à l’extérieur du magasin…150 témoins. Nous démarrons notre route avec une foule courante derrière nous.
Apres quelques km de voyage ascendant, nous dépassons une école primaire. L’endroit nous semble génial pour faire une présentation de notre projet du voyage africain de Kazimierz Nowak. Dans ce but, nous nous adressons à la directrice de l’établissement. Ca marche. Un groupe de quelque centaine d’élèves nous écoutent attentivement. Radek décrit les détails du projet. L’enseignant scolaire les traduits en kinyarwanda. Les enfants sont pleins d’enthousiasme. Apres un instant, ils commencent à poser des questions. Nous sommes très bien accueillis. Nous sommes sûrs, que c’était une idée capitale. Le cachet de Nowak fait carrière quand nous le mettons dans les cahiers des élèves. Nous nous éloignons vers Kibeho. Une route forestière nous y conduit. A gauche comme à droite, nous passons des plantations de café et de the. Les sommets des montagnes sont de plus en plus verts et le soleil est brulant.
Nous atteignons Kibeho, tardivement dans l’après-midi.
Kibeho. Comment Kazik a enchanté les enfants. Relation „Congo Safiri”,28-30 mais 2010.
Nous voudrions écrire un peu plus sur Kibeho. Ce que nous avons connu ici nous a touchés profondément et restera à jamais dans notre mémoire.
Les sœurs de Saint François d’Assise, rencontrées à Kigali, nous invitaient chaleureusement chez elles, à Kibeho, chez leurs enfants. Elles parlaient d’eux avec une telle passion que nous étions très curieux de cet endroit.
Les personnalités charismatiques des sœurs Raphaëlle et Jeanne-Marie, nous rendaient encore plus curieux. Les sœurs dirigent une école et un centre pour les enfants aveugles venant de tout le Rwanda. Les enfants aveugles sont perçus souvent comme des malédictions des ancêtres. Quelquefois, ils sont chassés de leur maisons, ou bien sont traites de manière inhumaine. C’est voila de cette sorte d’enfants que s’occupent les sœurs de Saint François d’Assise. Ce lieu est l’effet de la coopération entre le couvent des sœurs de Saint François d’Assise et du Ministère des affaires étrangères polonais. C’est les polonais qui ont participés dans la création de tout le complexe.
En allant à Kibeho, nous roulons sur une route ascendante, entre les plantations de thé. On sent l’odeur de l’eucalyptus et du Cyrus africain.
A environ 15h, nous arrivons a Kibeho, lieu connu en Afrique pour l’initiation d’un sanctuaire de Marie Mere de la Parole. Pose sur une hauteur de 1950m d’altitude, attire depuis plusieurs années, un nombre de pèlerins en augmentation.
Pour y arriver, nous devons nous égarer un petit peu de notre trace à la Nowak.
Dans l’enceinte du centre, nous avons été accueillis par une foule d’enfants et les sœurs-Raphaëlle, Fabienne, jeanne marie et les travailleurs du centre. Nous avons entendus, chante en polonais „Bienvenu- Alléluia”.
Les enfants ont dits un à un „Afryka Nowaka”. Arès un moment, nous étions accueillis avec le pain et le sel. C’était fantastique. Un accent polonais très fort dans le cœur de l’Afrique noire.
Nous voulons que l’aventure de Kazimierz Nowak soit présentée aux enfants de là.
L’histoire du voyage de Kazimierz Nowak a été transmise aux enfants, qui semblaient fascines. L’ensemble de ces petits, se bousculant, touchaient nos vélos et nous. Nous avons eu beaucoup de questions : où nous allons, d’où nous venons, qu’est-ce qui ce trouve dans ces gros sacs, pourquoi nos vélos ont trois roues et pourquoi ce „Nowaka” a tellement voyage ? À la fin, un garçon se lève et nous souhaite bonne chance pour notre prochaine route.
Les enfants ont en eux une telle énergie et une telle vigueur, qu’en aucun cas ils ne se différencient des enfants en bonne sante, et qui voient. Ces enfants ont quand même le reste des sens très développes, et nous avons l’occasion d’en être convaincu, quand en passant par le couloir, nous entendons „muzungu, muzungu”.
Nous visitons l’école. Nous regardons quelques salles de cours, où les enfants apprennent le langage de la Braille et utilisent cette méthode pour l’apprentissage de l’anglais, du français et aussi de la mathématique. Il y a des aides éducatives, et aussi une bibliothèque scolaire, qui est préparée par un travailleur aveugle.
Le rôle des sœurs n’est pas seulement de s’occuper des enfants, mais nous voyons qu’à travers leur travail et leur détermination, elles changent le regard de la population locale envers les aveugles et envers eux-mêmes.
Dans la cuisine, règne une atmosphère familiale. Nous sommes accueillis par des desserts délicieux, faits chez eux, et entre autres, des délices rwandais.
Nous visitons les villages voisins, l’arbre fabuleux avec un point visuel et aussi une village des pigmés. C’est dommage que le temps presse et que demain à l’aube nous devons quitter cet endroit très chaleureux et plaisant.
Nous sommes très contents que cette magnifique initiative se développe à tout le temps et nous savons déjà, que nous en ferons partie, s’arrangeant en aide après le retour en Pologne.
P.S : chères sœurs, nous vous remercions vivement !!!!!
Traduit par Angela Uruhimbi SHYAKA
S3, Ecole Bèlge de Kigali, Rwanda